InterSnceel • Numéro 22 • Mai 2014
Editorial de Didier RETOURNÉ
Editorial de Didier RETOURNÉ
Dans la foulée de l’adoption de la loi d’orientation et de programmation pour la refondation de l’Ecole, Vincent Peillon a ouvert de nombreux chantiers.
Un défi d’une acuité particulière s’ouvre à la conscience de notre branche professionnelle. Il revêt tout à la fois des aspects législatif, éthique, stratégique, et de gestion. Il se présente comme un chantier pour lequel il nous faut des outils. Il pose la question des rôles respectifs du maître d’ouvrage et du maître d’œuvre.
Editorial de Didier RETOURNÉ: Refondation de l'école : continuité et concrétisation
Au sommaire de ce numéro : Choisir sa vie ou la subir... Engagés au SNCEEL, ils témoignent Bernard Devert aux prises avec le mal... logement L'engagement peut rimer avec joie Une autre façon de penser les programmes
Editorial de Michèle COIRIER: Réforme de la formation professionnelle : la vigilance est de mise
Ils ont enquêté sur l’accès aux établissements privés. Pour ce faire, ont expliqué les trois chercheurs du CNRS(1), ils ont eu recours à la méthode du « testing ». Ils ont construit de toutes pièces les identités de deux pères fictifs – l’un portant un prénom et un nom à consonance française, l’autre à consonance maghrébine – qui ont adressé un message à quelques 4260 écoles et collèges privés pour obtenir des informations en vue de l’inscription de leurs enfants.
Editorial de Louis-Marie FILLON: L'étude qui questionne
C'est une chance d'avoir pu vivre des interventions qui nous ouvrent, de façon aussi positive, vers l'avenir par des conférences riches de densité intellectuelle et de convictions profondes. C'est une chance également de se dire que nous pouvons revenir tous les ans pour fêter, par des temps de rencontre informelle, nos retrouvailles avec les amis et collègues. C'est enfin une chance de réaliser que nous exerçons un beau métier porteur de sens.
La mutation profonde de notre rapport au temps lié à la difficulté de croire en la modernité triomphante nous place dans une inquiétude constante. Dans un état de crise sans fin qui exige de faire tenir les choses dans la durée, il devient difficile d’envisager une orientation vers le futur.